supported by 15 fans who also own “VII. Mirrors Within the Halls of Death”
Dans Invicta, Theophonos reprend une formule qu'il maîtrise bien : un black metal furieux s'inspirant de thèmes antiques grecs qui aura vite fait de perdre la personne inattentive. Mais en même temps, il sait comment changer cette formule — et il ne fait vraiment pas semblant — puisque cet album est en grande partie instrumental. Theophonos, en vrai virtuose, a l'audace de créer une ouverture de 14 minutes qui passe comme un ouragan. Comme quoi, le titre de l'album ne ment pas : il est invaincu. Jordan Vauvert
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La traversée du désert n'aura pas duré quarante jours mais quatre longues années...
Avec Панихида, Батюшка renaît enfin de ses cendres et, bien que désormais seul (ou plus exactement entouré de deux chanteurs), Христофор accomplit un miracle. Il s'inscrit dans la continuité de Литоургиiа avec un black metal orthodoxe qui nous convie ici à une cérémonie dédiée aux morts. Sa vision est englobante : les mélodies, la gravité et le silence font toucher le paradis ; l'agressivité est luciférienne. Jordan Vauvert